n jour, les bergers lui parlèrent de Gilgamesh, de sa tyrannie. "J'irai à Uruk, déclara-t-il, blanc de rage. Je le défierai et essaierai d'arranger les choses." Enkidu partit donc pour Uruk.
Lorsqu'il pénétra dans la ville, les citoyens reculèrent effrayés. Il était en effet le vivant portrait de Gilgamesh. " Gilgamesh a enfin trouvé un adversaire à sa taille ", dirent-ils. Enkidu se mit à la recherche de Gilgamesh et le défia.
Etranger, tu es aussi fort qu'un boeuf et ausi noble qu'un roi.    

-- ls se mirent aussitôt à lutter comme deux taureaux enragés, renversant les tentes et les étals du marché. Les murs des maisons, et même la terre, tremblèrent.
Finalement, Gilgamesh réussit à faire tomber son adversaire et sa colère se calma immédiatement. " Étranger, dit-il, tu es aussi fort qu'un bœuf et aussi noble qu'un roi. Soyons amis. Viens habiter chez moi et enseigne-moi ta façon de vivre. " Enkidu et Gilgamesh s'embrassèrent et leur amitié fut scellée. Gilgamesh cessa de terroriser ses sujets. Le temps passa et Gilgamesh, friand d'aventures, commença à ne plus tenir en place. " Allons dans la forêt de cèdres et tuons le géant Humbaba, suggéra-t-il à son ami. Les dieux nous en seront reconnaissants. "

remonter en haut

2
la suite

histoire de
l'écriture

retour

sommaire

 

2
.

3
.

4
.

5
.

6
.

7

 

 

 

 

 

la suite

retour